Indice de confiance des épargnants Manuvie : la valeur des conseillers

Manuvie a récemment publié les résultats du sondage sur l’indice de confiance des épargnants Manuvie, qui fait état de l’opinion des épargnants sur diverses catégories d’actifs et différents instruments d’épargne et de placement et mesure leur confiance à leur égard.

Au total, 2 000 Canadiens appartenant à deux profils démographiques (les fortunés et la population générale) ont été sondés entre le 5 et le 21 mai 2015

Les répondants fortunés sont âgés d’au moins 25 ans, sont responsables des décisions financières du ménage, ont un revenu familial d’au moins 75 000 $ et détiennent des actifs à placer d’au moins 100 000 $. Ceux de la population générale sont des adultes âgés d’au moins 25 ans.

La valeur d’un conseiller

Tous les épargnants sondés ont indiqué que leur conseiller joue un rôle important dans la prise de décisions financières et que leur placements fructifient grâce à son soutien. Les deux-tiers (66 %) des répondants préfèrent établir un partenariat avec leur conseiller au moment de prendre des décisions financières définitives, et près d’un tiers (29 %) d’entre eux acceptent ses recommandations.

Voici quelques-uns des aspects de la relation avec le conseiller qui sont les plus appréciés par les répondants :

Répondants fortunés
◾53 % des épargnants fortunés font appel à un conseiller
◾82 % préfèrent rencontrer leur conseiller en personne
◾Les conseillers aident les épargnants fortunés principalement dans les domaines suivants : ◾Gestion des placements (77 % des répondants);
◾Planification de la retraite (58 % des répondants);
Planification financière en vue d’événements marquants ou d’objectifs importants (37 % des répondants).

◾Sur dix épargnants fortunés, neuf indiquent que la valeur de leurs placements a augmenté durant les trois dernières années en raison des recommandations de leur conseiller.
◾Sur dix épargnants faisant appel à un conseiller, seulement quatre ont élaboré un plan financier complet en vue d’événements marquants ou d’objectifs importants.
◾Les femmes sont plus susceptibles de demander de l’aide à un conseiller pour la gestion des risques de décès, d’invalidité, de maladie grave et autres (28 % des femmes contre 19 % des hommes) et pour la gestion des leurs dettes (20 % des femmes contre 12 % des hommes).
◾Les épargnants plus âgés (55 ans ou plus) sont quant à eux davantage susceptibles de solliciter de l’aide et des recommandations de leur conseiller pour la gestion de leurs placements (83 % contre 79 % pour les 45 à 54 ans et 64 % pour les 25 à 44 ans). Ils sont toutefois moins portés à demander de l’aide pour la gestion de leurs dettes (seulement 10 % contre 22 % pour les 45 à 54 ans et 19 % pour les 25 à 44 ans).

Répondants de la population générale
◾29 % des épargnants de la population générale font appel à un conseiller.
◾86 % préfèrent rencontrer leur conseiller en personne, tandis que 35 % privilégient la communication par courriel et 33 % les entretiens au téléphone.
◾Les conseillers aident les épargnants de la population générale principalement dans les domaines suivants : ◾Gestion des placements (71 % des répondants);
◾Planification de la retraite (54 % des répondants);
◾Planification financière en vue d’évènements marquants ou d’objectifs importants (29 % des répondants).

◾Sur dix épargnants de la population générale, huit indiquent que la valeur de leurs placements a augmenté durant les trois dernières années en raison des recommandations de leur conseiller.